Témoignage de la prise en charge par le docteur Bouillon de nos parents Edmond et Madeleine âgés de 86 et 87 ans, atteints de covid sévère avec complications respiratoires.
• Vendredi 24 décembre 2021 maman ne se sent pas bien et souffre d'un terrible mal de gorge. Elle téléphone à son médecin traitant qui ne rappelle pas contrairement à son habitude.
• Le lundi 27 décembre nouveau coup de téléphone à son médecin traitant qui ne rappelle toujours pas. Durant ce temps nous insistons pour qu'elle contacte le Dr Bouillon.
• Mardi 28 elle fait un test PCR par une infirmière.
• Mercredi 29 son état empire. Papa est également malade. Nous insistons pour la venue du Dr Bouillon mais ils préfèrent attendre les résultats des tests qui tardent à arriver ainsi que la réponse de leur médecin traitant qui ne ressonne toujours pas.
• Le soir nous appelons le médecin de garde qui prescrit un antibiotique à maman. Papa n'est pas ausculté, les résultats ne sont toujours pas arrivés...
• Jeudi 30 les résultats tombent, nos parents sont positifs au covid. Maman est sous antibiotiques, rien pour papa. Nous essayons de contacter le Dr Bouillon, un message est laissé sur sa messagerie et sa boite mail.
• Vendredi 31 décembre le docteur Bouillon se rend chez mes parents. Prise en charge énergique. Tests, paramètres, auscultation et prise de sang. Papa est à 87 d'oxygénation, il doit rester 8 jours sous oxygène. Tout est mis en place à domicile, papa commence son traitement.
• Dimanche 2 janvier le docteur Bouillon revient voir mes parents.
• Vendredi 7 janvier l'état de papa se dégrade à cause d'une très mauvaise prise en charge à domicile. Les infirmières passent en dernier donc pas de médicaments avant midi, des médicaments que nous retrouvons dans le lit ou sur la table. (Non pris !) Pas de prise de paramètres, papa retire son oxygène surtout la nuit (84 oxygène), température 41° pas de Dafalgan pris, il est tombé en bas de son lit 2 fois. Nous appelons le Dr Bouillon qui est furieux devant tant d'incompétence de la part des infirmières, et vu la situation qui se dégrade il ne voit qu'une solution, l'hospitalisation. Après une heure 30 de soins il est donc emmené en ambulance à l'hôpital.
• Dimanche 9 janvier maman est également hospitalisée suite à une chute à son domicile.
• Mardi 11 janvier nous recevons un coup de téléphone de l’hôpital, papa est au plus mal, son état se dégrade. Double pneumonie, les 2 poumons sont atteints à 50%. Décompensation cardiaque, problème de déglutition, on nous fait comprendre qu'il va mourir. Il est sans traitement ! "On ne soigne pas le covid avec des antibiotique !" Nous affirme la doctoresse responsable de l'unité covid de l'hôpital. Nous téléphonons au Dr Bouillon pour lui expliquer la situation. Il nous conseille de le retirer et le soigner à domicile car il va mourir à l'hôpital sans soin. Nous donnons notre accord et après la signature d'une décharge une "opération commando" est organisée par le Dr Bouillon pour le ramener à la maison. Directement il est pris en charge dans l'ambulance. Oxygène, antibiotiques en perfusion, prise de sang par laquelle nous apprenons qu'il souffre également d'une infection urinaire bactérienne, donc qui aurait dû être traitée par antibiotiques ! Le docteur Bouillon l'installe à la maison en attendant son entrée demain en maison de repos. Merci infiniment au docteur Bouillon qui a consacré plusieurs heures à notre papa. Le soir papa se sent déjà mieux et il mange un plat de spaghettis ! Pas mal pour un mourant.
• Mercredi 12 janvier papa rentre en maison de repos où il sera soigné, surveillé 24h/24 et suivi par le docteur Bouillon avec contrôle par prises de sang régulières.
• Lundi 17 janvier maman sort de l'hôpital et est transférée près de papa en maison de repos. Nous la trouvons dans un triste état. Elle sera elle aussi prise en charge efficacement par le docteur Bouillon.
• Les soins seront prodigués durant plusieurs semaines, jusqu'au dimanche 20 février qui verra leur retour à la maison tous les deux, entièrement guéris ! Papa reconduit sa voiture, fait ses courses et ils reprennent tous les deux une vie normale.
Toute notre gratitude au docteur Bouillon pour cette extraordinaire prise en charge de nos parents sans laquelle ils ne seraient plus de ce monde.
4 messages.
Je remercie david bouillon qui as toujour été d un grand secour ,il m as sauver la vie il ya plus ou moin deux an sans lui je ne serai plus de ce monde 10 page ne suffirai pas pour lui exprimer toute ma gratitude lui son èpouse ainsi que les infirmières m ont prise en charge de suite ,il ont continuer a prendre de mes nouvelles chaque jour autant par appel que par message il s es battu corp et âme en contactant les médecins
Urgentiste de ma commune , il ont été les seul a se soucier de mon etat assez critique, un docteur exemplaire une équipe formidable ,un soutien que je n ai jamais connus auparavent, merci à toutes l'equipe grâce à eux je suis vivante aprés etre passer de pres vers la mort 👏🌈🎁
Urgentiste de ma commune , il ont été les seul a se soucier de mon etat assez critique, un docteur exemplaire une équipe formidable ,un soutien que je n ai jamais connus auparavent, merci à toutes l'equipe grâce à eux je suis vivante aprés etre passer de pres vers la mort 👏🌈🎁
Je ne remercierais jamais assez le docteur Bouillon pour avoir sauver mon père de 87ans qui dans les mains de certaines personnes ètait très mal soigner....un docteur au grand cœur, dévoué qui se bat sincèrement pour sauvé les personnes âgées....je vous le recommande!!!! Il vous soigne, il vous suit en prenant régulièrement de vos nouvelles....je n ai jamais vu cela ailleur!!!!!milles merci Docteur, mon père va bien...grosse bise.
Merci au Docteur Bouillon qui est venu à mon secours et s'occupe désormais de moi. J'ai 84 ans, je vis seul et je suis mal en point. Je me meus difficilement et ne suis plus sorti depuis 4 ans. J'avais perdu tout espoir et attendais la mort en délivrance. Le bon docteur m'a rendu le désir de vivre.
Vivre encore
Une fine perle de larme
Ce matin tombe de mon cœur
Mon cœur blessé bat l’alarme
Et mon esprit s’emplit de peur
.
Durant ma nuit d’insomnie
J’ai remué cent souvenirs
J’ai vu le film de ma vie.
Sans raison, je la sens finir.
J’ai connu plus de cent douleurs
Des jours sans joie, des nuits ternes
Mais aussi de nombreux bonheurs
Oubliant mon cœur en berne.
Autant jamais je n’ai été si mal
Que ce matin à mon réveil
Et un ressenti infernal
Subsiste du mauvais sommeil.
De la tombe, je sens la froideur
Je ne pourrai y échapper
Et j’essaie de dompter ma peur
Je me sens encore respirer.
Je sens le sang battre mes veines
Des amours m’attendent encore
Je veux connaître cette reine
Qui ressuscitera mon corps.
Une semaine, un mois, un an
Mais que m’importe la durée
Je veux vivre passionnément
Mordre en cette vie tant aimée.
Et un beau soleil ce matin
En séchant la triste rosée
De ce sentiment trop chagrin
Va monter à son apogée !
Georges Bleuhay
Le poète de Méry-sur-Ourthe
Vivre encore
Une fine perle de larme
Ce matin tombe de mon cœur
Mon cœur blessé bat l’alarme
Et mon esprit s’emplit de peur
.
Durant ma nuit d’insomnie
J’ai remué cent souvenirs
J’ai vu le film de ma vie.
Sans raison, je la sens finir.
J’ai connu plus de cent douleurs
Des jours sans joie, des nuits ternes
Mais aussi de nombreux bonheurs
Oubliant mon cœur en berne.
Autant jamais je n’ai été si mal
Que ce matin à mon réveil
Et un ressenti infernal
Subsiste du mauvais sommeil.
De la tombe, je sens la froideur
Je ne pourrai y échapper
Et j’essaie de dompter ma peur
Je me sens encore respirer.
Je sens le sang battre mes veines
Des amours m’attendent encore
Je veux connaître cette reine
Qui ressuscitera mon corps.
Une semaine, un mois, un an
Mais que m’importe la durée
Je veux vivre passionnément
Mordre en cette vie tant aimée.
Et un beau soleil ce matin
En séchant la triste rosée
De ce sentiment trop chagrin
Va monter à son apogée !
Georges Bleuhay
Le poète de Méry-sur-Ourthe